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le pelican frondeur
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pascal montecot, grand défenseur de la démocratie... sauce POUTINE

pascal montecot, grand défenseur de la démocratie... sauce POUTINE

pascal montecot, grand défenseur de la démocratie... sauce POUTINE

Depuis la première retransmission des séances du conseil municipal, je n’en ai loupé aucune, celle de jeudi dernier a atteint un niveau inégalé en matière de mépris, d’incorrection, d’irrespect, de manipulation des faits de la part du premier magistrat de la commune. Cette réunion a duré 1 h 53 min, aussi afin que chacun et chacune puisse constater les FAITS, j’en ai ciblé 4 séquences.

Comme vous pourrez le constater tout au long de ce conseil, chaque fois que l’opposition lui pose une question pertinente, il est déstabilisé, perd son sang-froid, devient aussi rouge que les coquelicots de sa propriété du Bonsour, invective, et n’apporte pas de réponse ou fait une pirouette avec une réponse "hors sujet".

La Première séquence commence à  10 min :38 s avec une question de Sylvie MOURLON (Réunir Pélissanne) et se termine à 25 min : 10 s avec la diatribe de MONTECOT, suite à l’abstention des élus de RP sur la délibération relative à la Taxe Foncière.

Question de Sylvie MOURLON relative aux  "décisions du maire" , (question n°1)  : … "la commune réserve un terrain…."  

Avec cette question Mme MOURLON a soulevé un lièvre, un gros lièvre, et la réponse du premier magistrat est du grand n’importe quoi. Cette décision est la décision n° 288/2023, et concerne "l’exercice du Droit de Priorité", sur un terrain cadastré AR 659 et AR 661, sis au lotissement privé dénommée  "Cité EDF", avenue Gabriel Reynaud. 

pascal montecot, grand défenseur de la démocratie... sauce POUTINE

Plan cadastral de la Cité EDF

pascal montecot, grand défenseur de la démocratie... sauce POUTINE

Sur la forme, cette décision actée sur deux pages, en 7 articles, est non-conforme : la première page se termine avec l’article 3 et la seconde page commence avec l’article 5, mais où est donc passé l’article 4 ???

Vous pourrez vérifier mes dires en vous connectant sur le site de la mairie :

Ma ville

Le conseil municipal

Les conseils municipaux

Comptes rendus des conseils

Et tout à droite  "filtrer les résultats", dans " les catégories" choisissez "les décisions du maire" et sélectionnez l’année (2023), et VALIDEZ, vous aurez alors à l’écran la décision n°315/2023 ainsi que toutes les précédentes, vous pourrez alors constater qu’à la 288/2023, il manque bien l’article 4.

Sur le fond, c’est volontairement que, présentement, je ne développerai pas le sujet pour la seule et unique raison que dans les semaines à venir, cette AFFAIRE, car il s’agit d’une AFFAIRE, va refaire surface, je m’exprimerai alors. Cependant vous pouvez dès à présent comprendre pourquoi cet exercice du "DROIT DE PRIORITE", ne tient pas la route en lançant sur votre "moteur de recherches" ces 4 "mots clefs" : exercice droit de priorité.

Ce surprenant exercice du "droit de priorité", cacherait-il une future opération pour un motif peu avouable ?

Monsieur le maire, vous qui contrairement à M. WASQUEZ (cf. vos propos), n’aimez pas passer au micro du conseil municipal,

Monsieur le maire vous qui contrairement aux élus de Réunir Pélissanne (cf. vos propos) êtes en permanence présent dans le village,

Monsieur le maire, allez-vous expliquer aux Pélissannais et Pélissannaises pourquoi vous avez exercé ce "droit de priorité" sur ce terrain à 369,63 € m², alors que vous n’avez pas exercé votre  "droit de préemption" sur les 3 terrains à 31,00 € le m² ? Et pour reprendre votre réponse à la question écrite de  "Réunir Pélissanne", il y a  là , preuves à l’appui,  "la réalité des faits et du droit" !

 

 

A la suite de l’intervention de Sylvie MOURLON c’est Laurent WASQUEZ qui débute en s’exprimant sur le parc St Martin et le Parc Delorme, Pascal MONTECOT commence alors à le tutoyer avec des propos désagréables à son encontre, monsieur le maire aurait-il "gardé les cochons" avec Laurent ?   Complétement déstabilisé Pascal MONTECOT répète à deux reprises :  "on va d’abord chercher des financements et une fois qu’on est assuré d’avoir les financements on travaille sur le projet".

Deux possibilités quant à cette réponse :

  1. Soit Madame Martine VASSAL accorde des financements sans justificatifs, ce qui serait d’une extrême gravité, et nécessite la saisie du Procureur de la République,
  2. Soit la réponse de monsieur le maire est une « vue de l’esprit »,

A moins que monsieur le maire connaisse un banquier qui accorde des financements à un entrepreneur ou à un créateur d’entreprise et qui lui demande à postériori ses  "business plans".

Sylvie MOURLON enchaine alors sur la  "transparence" et Pascal MONTECOT lui répond par le résultat des élections de 2020 !!!

Puis c’est Laurent WASQUEZ qui intervient à nouveau, et rapidement Maître censeur lui coupe le micro et le seul que l’on entend parfaitement c’est ce monsieur qui n’arrête pas de bafouiller pour se justifier :  "C’est bon, je vous connais, je sais que vous aimez bien passer au micro pour être vu une fois tous les 4 mois, très bien… arrêtez, arrêtez, dans la ville jamais on vous voit, aller, très bien, et bien vous êtes en forme aujourd’hui, le micro est coupé, on vous voit pas, ça sert à rien ce que vous faites" et cet odieux individu se permet même de lui dire "restez correct !"

Et lorsque la délibération sur la Taxe Foncière vient en débat là aussi le premier magistrat de la commune continue à bafouiller, toujours aussi rouge il conteste l’abstention de l’opposition et se permet même de dire "allez vanter, allez dire, mais vous les voyez jamais, allez dire aux Pélissannais qu’aujourd’hui vous êtes contre, tout contre le fait que l’équipe le conseil municipal propose de ne pas augmenter les impôts et vous vous abstenez ".

Monsieur le maire rappelle que c’est le gouvernement qui a augmenté les bases d’imposition, ce qui est exact. Mais monsieur le maire n’a pas écouté (pourtant elle était parfaitement audible), les propos de Sylvie MOURLON, ou ne les a pas compris, ce qui est fort probable. Elle a tout à fait raison, le résultat final est qu’avec cette augmentation de la pression fiscale, quel qu’en soit le responsable, le budget des familles est encore amputé, non seulement pour les propriétaires aussi pour les locataires du fait que les propriétaires la répercutent (en toute légalité) à leurs locataires. La taxe des ordures ménagères a subi une hausse de 3,91 % entre 2021 et 2022 et une hausse de 7,02 % entre 2022 et 2023. Ne vous en déplaise, monsieur MONTECOT, les impôts ont augmenté !

Pourquoi monsieur le maire et la quarantaine de ses homologues qui sont entré en fronde contre le Gouvernement sur la question du % des logements sociaux, ne sont-ils pas entrés en fronde contre cette hausse des bases d’imposition ?

Monsieur MONTECOT, arrêtez de "prendre les enfants du bon Dieu, pour des canards sauvages !"

 

La Deuxième séquence commence à  39 min : 12 s  et se termine à 45 min

C’est la délibération n° 11 relative à la modification des tarifs du conservatoire de musique. Après l’exposé d’Hélène MURA, Sylvie MOURLON interpelle monsieur le maire pour savoir ce qu’il entend par "partenariat CCAS/ conservatoire", pour les familles qui rencontreraient des difficultés financières. Madame MOURLON fait partie du conseil d’administration du CCAS et elle n’a entendu, ni vu dans la documentation du Conseil d’Administration une quelconque allusion, ni ligne budgétaire affecté à ce partenariat.

Réponse de monsieur le maire : "Mme FLE et Mme MURA ont décidé en concert d’apporter cette, ce plus pour les élèves qui auraient un besoin… ça redescendra plus tard ou bientôt en Conseil d’Administration…il faut attendra qu’il y ait une délibération pour, pour que après il puisse l’entériner au niveau du CCAS … vous serez informé puisque vous êtes membre du Conseil d’Administration, d’abord il faut voter cette délibération… ne mélangez pas tout… merci, merci madame MOURLON". Pour monsieur le maire le CCAS c'est Mme FLE et Mme MURA, pour tous les autres membres du Conseil d'Administration du CCAS c'est : "circulez, y a rien à voir"!

Nous avons là un « copier-coller » de la réponse faite à Laurent WASQUEZ "on va d’abord chercher des financements et une fois qu’on est assuré d’avoir les financements on travaille sur le projet ". LAMENTABLE !

 

La troisième séquence commence à 1h : 25 min : 26 s et se termine à 1h : 29 min : 12 s

Après la lecture de la note de synthèse préparée pour M. le maire par son scribe, Jean-Christophe HENRY interpelle le maire pour savoir pourquoi  la note de synthèse n° 29 a été retirée. Refus de M. le maire et lorsque l’élu de RP insiste, ce monsieur lui coupe, en toute illégalité le micro, au bout de 60 secondes d’intervention et l’on n’entend plus que lui :

"non, non… il n’y a pas de discussion possible…non…oui,oui… on a le droit de retirer une délibération si on estime qu’elle n’est pas prête.. je te le dirai après si tu veux alors assis-toi… non,non elle est retirée, j’te  dirai après pourquoi… aller de toute façon tu peux raller comme tu veux…c’est comme ça merci, t’a décidé de sortir, allez vas-y!"

Monsieur le maire, si vous aviez quelque chose à dire, il fallait le dire de suite, la présente assemblée n'est pas celle de "l'amicale des suces miel d'Allauch", mais un conseil municipal.

Excédé par cette intolérable attitude, JC HENRY, qui est une personne calme, pondérée, polie, respectueuse, claque alors la porte du conseil municipal et bien évidemment le caméraman ne dirige pas sa caméra sur lui. Ce monsieur sortirait- il de l’institut moscovite   "Vladimir Vladimirovitch P", chargé plus particulièrement de la formation des reporters politiques.

il est regrettable que ses deux colistiers n'en aient pas fait de même, et ce d'autant plus qu'ils ont été victimes eu aussi,  depuis le début du conseil, des agressions verbales du maire. Si des agressions verbales ou physiques envers des élus de la République ne sont pas tolérables, il doit en être de même lorsqu'un élu de la République agresse un autre élu de la République.

Sylvie MOURLON tente alors d’intervenir sur cette délibération 29 et à nouveau le maire lui coupe à nouveau, en toute illégalité, le micro.

 

La quatrième séquence commence à  1 h : 47 min : 45 sec et se termine avec la fin de ce conseil à 1 h : 52 min : 57 sec

Et comme à chaque conseil, en toute ILLEGALITE, monsieur le maire fait poser les questions de l’opposition par ses "récitateurs", présentement son premier adjoint, délégué à la vie associative, au sport et à la protection animale, et son 3ième adjoint, délégué à l’éducation, l’enfance et jeunesse, la citoyenneté et la restauration, et ce sont des mêmes deux "récitateurs" qui répondront à la place du maire.  Le premier adjoint les lira non pas sans mal, accompagné du sourire narquois d’Aurélie NICOLAS, 4ième adjointe déléguée au cadre de vie, à l’environnement et aux petits travaux.

En ce qui concerne la première question, posée par l’élu du groupe « S’unir Pour Pélissanne », Pascal MONTECOT vise bien évidemment Jean Gérard CHEVASSU, monsieur le maire feint d’ignorer qu’il n’y a pas qu’au conseil municipal que l’on puisse défendre les intérêts des Pélissannais. Pour résumer la conclusion de sa diatribe : "circulez, y a rien à voir !"

En ce qui concerne les deux questions posées par le groupe « Réunir Pélissanne » monsieur le maire peut-il, lorsqu’il fait référence à l’internement psychiatrique d’une administrée, donner des détails sur sa "réalité des faits et du droit"? 

Et en termes de récupération politique, il en a une maîtrise hors du commun. Il a bien été informé du courant de sympathie envers le conservateur de notre musée, et c’est pour cela et uniquement pour cela qu’il a mis un encart dans "Péli-info" de février/mars 2024

pascal montecot, grand défenseur de la démocratie... sauce POUTINE

Monsieur le maire je peux vous dire que cet encart a été mal, très mal vécu par la famille PROUST. Elle n’a pas oublié tout le mal que vous avez fait à Jean PROUST depuis votre premier mandat et surtout l’odieuse cabale orchestrée par votre Directeur Générale des Services (cf. son courrier du 13 avril 2017), les deux plaintes contre X, l’une par vous-même, l’autre par le directeur de la DRAC PACA, mais où seul le conservateur est nettement mis en cause, car il sera la seule personne perquisionnée et auditionnée, et la famille PROUST, est toujours traumatisée par cette humiliante et illégale perquisition. Je vous rappellerai, ainsi qu'à votre DGS que cette plainte a été classé sans suite par le Procureur de la République. Et l’on peut quand même s’interroger pourquoi la gendarmerie de Lançon maintient-elle encore dans ses effectifs ce gendarme-réserviste eu égard à cette odieuse cabale ?  

Monsieur le maire,

Mesdames et Messieurs les élus du groupe "Ensemble Vivons Pélissanne",

Le seul hommage que vous vous devez de rendre à Monsieur Proust est la réouverture de son Musée. Et pour ce faire il convient, dans les meilleurs délais, de représenter un dossier chiffré, bien ficelé, afin de demander à Madame Martine VASSAL une nouvelle subvention, puisque vous avez utilisé à d’autres fins, celle qui vous avait été octroyée, d’avance MERCI.

Ci-après la vidéo de ce conseil municipal, si vous ne souhaitez pas le suivre en totalité, positionnez-vous sur les séquences que j'ai ciblées.

si la vidéo est en fin d'enregistrement il faut ramener le curseur au début.